L’Auto-Stop

Ce récit est inspiré d'un vieux récit que j'avais beaucoup aimé. Si vous l'appréciez, merci d'avance pour vos
encouragements !
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L’aventure que je vais vous raconter, je l’ai vécue il y a 5 ans, j’avais alors 17 ans. C’était l’époque du lycée,
l’Université se profilait dans un avenir qui ne semblait plus si lointain, mais avant, il me fallait tordre le cou au bac. Je
travaillais alors d’arrache pied pour décrocher cet examen afin d’intégrer la fac de science, à Paris, et m’éloigner de
ma Bretagne natale et surtout de ma famille qui de plus en plus me pesait. Malgré mes bons résultats, ma mère
persistait à me demander toujours plus d’efforts et ne cachait pas sa déception de me voir refuser l’idée d’intégrer
les classes préparatoires. Elle voyait en mon choix la preuve de mon goût pour l’oisiveté alors que je n’y exprimais
que ma volonté de liberté, refusant d’être poussée et martyrisée pour apprendre. En conséquence de ce jugement
partial auquel elle me soumettait, elle refusait de me donner le moindre centime d’argent de poche. Je gagnais donc
moi-même mes quelques euros, et n’attendais pas grand chose du coté de mon père, qui avait pointé rapidement
aux abonnés absents et oublié de me voir grandir : il m’envoyait toujours une poupée tous les Noëls depuis son
départ dans les îles Canaries. Malheureusement, mon travail dans la librairie au coin de la rue suffisait juste à me
payer quelques sorties et vêtements, moi qui rêvais de voyages et d’évasion. C’est ainsi démunie que je fut l’idéale
victime de l’aventure que je vais vous conter. Nous étions en février et les vacances scolaires débutaient. J’avais
décidé d’aller à Rennes pour participer à l’anniversaire d’une amie. Elle m’avait promis une grandiose fête et
j’espérais, en petite fille sage mais rongée par la curiosité et l’envie, trouver en ces lieux des émois que jusqu’alors
je n’avais connus qu’en solitaire.

Pour tout avouer, l’envie me prenait aux ventre. Souvent, le soir, je regardais des
films pornos quand ma mère était de service à l’hôpital. J’en avais déniché une vaste collection, cachée dans le
grenier et en descendais prudemment, l’excitation dopée par le goût d’interdit. Je m’installais alors dans l’immense
canapé du salon, en pyjama, en me caressais au rythme des gémissements des actrices sous les assauts d’hommes
entreprenants et infatigables. J’aurai sûrement pu tester l’expérience avec l’un des garçons du lycée, grande blonde
svelte, au seins juste généreux dans leur 85 B, je savais que plusieurs eut été volontaires, mais aucun ne me plaisait
au point de construire une relation et je redoutais par dessus tout d’être cataloguée parmi les filles faciles. C’est
donc en solitaire que je connaissais les émois du sexe, allant même jusqu’à utiliser des légumes au point de déchirer
mon hymen dans ma hâte, mais c’est une autre histoire. Je vous laisse donc imaginer l’état de tension dans lequel je
me trouvais à l’idée de me rendre à cette fête, loin de Vannes et des «qu’en dira-t-on». Pour compliquer l’affaire, je
me retrouvais sans le moindre sou en poche et ma mère refusait toujours catégoriquement d’être la «mécène de ma
fainéantise». Impossible de payer le billet de train, d’acheter un cadeau, en gros : impossible de me rendre là-bas.
Comme je ne suis pas de celles qui facilement baissent les bras, je décidais donc de faire fi des difficultés et, sac à
l’épaule, me lançais sur la route en comptant sur des âmes généreuse pour me prendre en stop. Afin d’augmenter
mes chances de bénéficier de l’aide des automobilistes, je m’habillais en jupe (au genou tout de même) et pull à col
roulé sur un chemisier blanc. Afin de ne pas avoir trop geler, j’enfilais une paire de bas. Après avoir marché une
bonne heure pour rejoindre la nationale, je sentais le froid commencer à gagner mes pieds et le sac terriblement
peser sur mon épaule.
En partant de chez moi, je m’étais promise de bien sélectionner les samaritains acceptant de
me transporter, privilégiant les familles, mais maintenant, j’étais prête à accepter toutes les cas de figure. Encore
novice dans l’art du stop, je commençais par me placer à un mauvaise endroit, pestant, je tentais de trouver un lieu
ou puisse s’arrêter les voitures, au final, j’arrivais vers une aire de isolée. Désespérée, je retendais le bras, me
demandant si je n’allais pas devoir faire demi-tour, mais enfin la chance me souri. Un camion énorme stoppa dans
un fracas insensé de freins et je me précipitais vers la cabine dont la portière venait de s’ouvrir. Grimpant
difficilement dans l’engin, j’arrivais dans un lieu chauffé et soupirais d’aise. Je découvris alors mon bienfaiteur : un
homme, dans la cinquantaine, dégarni et un peu bedonnant. De sa moustache, qui cachait en partie sa bouche, sorti
une voix de grave et vibrante. Il demanda :
ou allez-vous donc jeune fille,
quelque peu impressionnée, je lui dit vouloir me rendre à Rennes et en profitait pour le remercier pour sa
gentillesse. Il rit de bon coeur et gronda :
je vous en prie ! Vous avez de la chance, je vais aussi là-bas. Bienvenue à bord !
Rassurée par sa bonhomie, je me détendais alors. Le camion reparti et nous commençâmes à discuter. Curieux de
me voir faire du stop, il me questionna et de bonne grâce, je lui contais mon histoire, en omettant, bien sûr,
certaines de mes motivations intimes. Pendant mon récit, je me mis à l’aise. Le chauffage était fort et je commençais
à avoir chaud. J’enlevais donc, avec sa permission, mes souliers et mon pull. A la fin de mon récit, il me demanda :
tu aimerais gagner un peu d’argent facilement ?
Méfiante du tour que prenais la conversation, je me repliais au fond de mon siège. Il le vit et me dit :
ne vous inquiétez pas, rien de bien méchant. Juste pour me flatter l’oeil.
Il vous suffit de défaire un bouton de votre
chemisier, juste pour voir ce qu’il cache. Je vous donne cinq euros par bouton.
Pour souligner son discours, il sort un billet qu’il pose sur le siège entre nous. Après une longue hésitation, ma main
monte jusqu’au premier bouton que je défais. Ce simple geste me rend toute drôle. L’homme reluque dans ma
direction et commence à prendre des couleurs. Il pose un second billet et j’ôte le second bouton... Au bout de six
billet, le chemisier est entièrement ouvert, laissant s’échapper ma poitrine, emprisonnés dans un soutien-gorge à
balconnets. Le conducteur me demande alors, d’une voix rauque, si je veux continuer et je répond timidement d’un
mouvement de tête affirmatif. Il pose alors un billet de dix euros et me demande de relever ma jupe à mi-cuisse.
Craintive de la tournure que prenne les évènements, j’hésite longuement, puis gagnée moi-même par une perverse
excitation, j’accepte. A coté de moi, l’homme respire de plus en plus fort. Il me dit alors :
enlève ton soutien gorge et ta jupe, je te donne 30 euros !
Alors, comme dans un rêve, je m’exécute et, sous mes yeux écarquillés, je le vois ouvrir sa braguette et dégager son
sexe, raide et veiné, le gland luisant. Je ne peux pas écarter les yeux du membre, c’est la première fois que j’en vois
un autrement que sur un écran. Celui-ci est épais, pas particulièrement long mais trapu. Le gland semble même
moins large que la hampe. L’homme, qui me regarde du coin de l’oeil, commence à se caresser et fini par saisir
l’engin pour le pomper avec volupté. De mon coté, comme par réflexe devant ce spectacle, je glisse sur le siège en
me caressant doucement les seins d’une main pendant que l’autre se glisse dans ma culotte pour trouver le petit
bouton que doucement je commence à titiller. L’homme, dans un murmure, me dit alors
viens me sucer ma jolie... pour cinquante euros, suce-moi.
..
Comme dans un rêve, je me mets à quatre pattes sur la banquette, mon minou trempé dans la culotte est refroidi par
la clim, ce qui redouble encore mon excitation, et je me glisse vers lui. Quand je m’approche, je suis assaillie par
l’odeur forte, mais j’avance tout de même la main pour la caresser, puis les lèvres. Me souvenant des films, je
commence par lécher timidement le méat, arrachant au conducteur un râle, puis prend le gland doucement ma
bouche et commence à descendre de bas en haut. Je sens alors une main passer sur mon dos et glisser dans ma
culotte. J’ai d’abord un léger mouvement de recul, puis me laisse faire. Un doigt se glisse entre mes fesses,
provoquant la contraction de mon oeillet, puis viens explorer l’entrée de mon sexe : je suis trempée. Le traitement
qu’il me fait subir me fait accélérer le mouvement sur son sexe, je le sens alors légèrement se contracter et un peu
d’un liquide clair et salée gicle dans ma bouche, m’arrachant un cri de surprise, accentué par une brusque
pénétration d’un gros doigt au fond de mon vagin. Je le sens alors se tortiller et m’aperçois que le camion est arrêté
sur une aire. Il me relève la tête et m’annonce :
pour cent euros, je te prend, maintenant,
d’un signe de tête il désigne la cabine arrière. Sans rien dire, j’écarte les rideaux et me retrouve à quatre pattes sur la
couche, seulement vêtue de mes bas et de ma sage culotte maintenant trempée. Je m’arrête un instant et lance un
regard circulaire. La cabine était tapissée de photo plus suggestives les unes que les autres. Alors que je
commençais à avancer, je senti ses mains se poser sur mes hanches ; je m’arrêtais, haletante. Il en profita pour
retirer sans ménagement ma culotte et posais ses grosses paluches sur mes fesses. Je mouillais de plus belle quant
je senti son visage s’approcher de sexe, les moustaches de l’homme commençaient à chatouiller mon sexe. Je me
cambrais et écartais alors instinctivement les cuisses, il en profita pour passer sa langue sur les lèvres humide de
mon sexe, je gémissais sous les effets de ce traitement. Sa langue, agile, entrait dans mon vagin et à ma grande
surprise s’aventura aussi sur mon oeillet, le trempant de salive. Il revint alors à mon sexe et commença, du pouce, à
me taquiner l’anus. Mon sphincter palpitait sous le traitement, tant et si bien qu’à un moment il y enfonça
profondément son dos, m’arrachant un cri de douleur et surprise. Il continua son traitement en imprimant de lents
allers-retours, son pouce explorant cul avec application. Régulièrement, je sentais sa langue aller d’un orifice à
l’autre avec fébrilité. Après un certain temps de ce traitement, il me donna une tape sur les fesses et avec un petit
cri, je me dirigeais vers les fond de la cabine et me retournait. Il commença à se dévêtir, dévoilant sa poitrine velue
et sa bedaine proéminente. Sous son ventre, son sexe pointait, il m’attira vers lui et en approcha mon visage. Je
repris donc l’engin en bouche, gonflé, bouillant. Je sentais son gland frotter mon palais, et aller jusqu’au fond de ma
gorge, à la limite de me faire vomir. Poussée par la curiosité, je me mis à caresser ses bourses, lui arrachant un
gémissement. Il me tira à ce moment la tête en arrière et me plaça devant lui à quatre pattes. Mon excitation était à
son comble, je respirais par à coup, anxieuse de cette première fois avec un homme. Il m'agrippa les hanche et me
tira vers lui. mes fesses entrèrent d’abord en contact avec son ventre ; je retenais ma respiration et senti soudain son
gland à l’entrée de mon vagin. Le gland, glissant sur la salive et mes propres sécrétions, commença à se frayer un
chemin entre mes lèvres. Puis, d’un coup sec il m’envahit. J’avais l’impression d’être écartelée, mon ventre
s’enflamma et je commençais à haleter tandis qu’il imprimait à ses hanches un mouvement de va et vient, faisant
claquer ses bourses sur mon pubis. Je m’effondrais, empaler sur son sexe. Pour ne pas glisser, j’attrapais des
poignées et me retrouvais comme suspendue. Ramonée avec vigueur, je senti monter du creux de mon ventre une
vague de chaleur qui enfla au point de brouiller ma vue et me faire crier. Pour faire durer cette sensation, je poussais
me fesses vers l’arrière, afin de m’empaler encore et encore. Quand la sensation s’atténua, je le senti sortir de mon
sexe et le suppliais de revenir, mais il n’en avait pas fini avec moi. Ecartant mes fesse, il dévoila mon anus et posa
dessus son gland gluant. Je pris alors peur, ne voulant pas être prise par là, mais il me maintint et poussa tout
doucement. Tentant de me relever et lui demandant de s'arrêter, je commençais à reprendre mes esprits et tentais
de me dégager. Il poussa alors d’un coup, se frayant un chemin dans mes intestins. Une douleur me transperça le
dos et il entra en moi jusqu’au pubis. Ces couilles vinrent battre sur mes grandes lêvre tandis qu’il accélérait le
mouvement. La douleur du début se transforma doucement en étrange sensation, agréable et intense. Alors que je
commençais moi-même à accompagner le mouvement de ses hanche en ondulant du bassin, il remonta ses mains et
saisi brusquement mes seins, déclenchant une nouvelle vague d’excitation en moi. A ce moment, je senti son sexe
grossir encore et tendre les parois de mon cul puis, se contracter en spasmes successif : il se vider de son sperme au
fond de mes entrailles. Je m’effondrait alors et m’endormait alors que redémarrait le camion. Quelques temps plus
tard, je revenais à moi. Allongée en chien de fusil, le sexe un peu douloureux, je sentais un long visqueux glisser de
mon anus douloureux quand je commençais à bouger. J’attrapais quelques mouchoirs en papier pour m’essuyer et
remettais mes vêtements que l’homme avait posé près de moi. Après m’être rhabillée, je revenais sur les siège avant,
nous arrivions à Rennes. L’homme se tourna vers moi et dit :
ça va ?
Il semblait inquiet et d’un regard je le rassurait. Quand il me déposa vers la gare, il glissa dans ma main quelques
billets et me dit :
peut-être à une prochaine fois ?
Je lui souri mais ne répondit pas...

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